parole du monde

Dans le monde de demain, il n’aura pas de place aux revendications, les manifestions et tous ces demandes de faible face un pouvoir centrale endurci. Dans le monde demain, il aura seulement des débats et des négociations pour prendre une décision fixe et irréversible par un changement de pouvoir électoral ou des sondages favorisants : tous devront assumer les actions de leur dirigeants, car ils auront prit le choix d’y contribuer et aucun fera hypocrite en accusant  le chef qui élus ou non, car tous leurs ennemis ne voyont pas la différence. Oui ce monde sera ériger par la violence. Oui des innocents mourront tous les jours. Mais Non il ne sera pas différent sur ce point au monde d’aujourd’hui. La seule différence c’est que des guerres comptant des milliers, voire des centaines de morts n’existeront plus, car aucun n’écoutera un chef, un gouvernement ou un devoir patriotique : La violence sera commise et gérée au quotidien par les individus qui n’auront pas le choix de s’y confronter, mais aussi répondre de ces actes. Finalement, ce monde ne sera pas parfait, il sera juste vrai.

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Ahh! ce précieux culte de l'image contemporain, j'aimerais le chier comme sa devrait être. Au lieu de me rappeler que je ne suis pas l'un d'entre eux et vouloir tout éclater sur mon passage. La démolir pièce par pièce parce qu'il a rien  guérir.

Je pue, je suis pas raser et je suis geler depuis un temps qu'il me rappelle qu'est que j'ai fait par l'écoute de la société qui ma fait son mal renier celui qui rôde dans les ruelles le soir quand je ne suis même pas assez conscient pour de m’y  apercevoir.

De plus, le nombre incalculable de jeune qui mon tabasser pour s'amuser me fait douter fortement que c'est moi le mal le plus profond de votre société, moi je suis celui à oublier.

 L'oublie et encore trop difficile par ma souffrance d'être la reliure de ce monde, je voudrais juste en finir, me flinguer d'un coup sec et en finir avec ce monde, mais il serait trop facile. Je ne mérite pas la facilité. Je dois endurer tout ce mal, toute cette haine et surtout tout ce mépris qui me fait sentir en vie. Je suis l'être dépraver de vos sociétés, mais je mérite pire. Cela dit, je connais votre petitesse morale et vous allez me voir comme une victime quand je les juste eut trop facile, vous me l'offrez a tout les jours par votre charité, et vous me méprisez encore plus quand J’A REFUSE, TABARNAK.

Je ne veux pas de votre pitié, vous le savez je veux me tuer. Je mérite les bas fond de la société, je mérite les pires souffrances de l'humanité, et je sais que ça ne serait pas encore assez pour vous avoir écouter, Vous qui me méprisez.

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    Il n'a rien a dire sur ma vie mise pas que je l'ai toujours eux trop facile. Le monde contemporain m'emmerde a baver d'envie sur mes formes, sur mon cul et sur mes seins.

Par mon cul, par mes seins et par ma chatte, j'ai monté dans les hauts rangs de la société. En croissant, en suçant et en méprisant ma race. Cette race humaine croit toutes les conneries du monde civilisé quand le sexe est la seule raison de l'existence. Les grosses obèses mon toujours pointé du doigt en me traitant de prostituer quand elle m'ont toujours envié car elle ne peut que sucer les bas rangs de la société.

Dans mon cul, j'ai fait venir des présidents de sociétés, des politiciens et tous ces porcs qui ont cru me posséder parce je les ai juste crossés. Par mes formes, je les fait baver, je les ait fait envier et je les ait envoûter pour satisfaire mes plaisirs de richesse, sûre, mais la joie de détruire leur mariage, de les voir mutiler leur amitié et le plus jouissif est de les voir se pendre, tout ça pour mon cul, mes seins et ma chatte. Ceux possédants une morale à la noix, je vous assure que leur vie, à mes victimes, étaient bien pire avant de m'avoir rencontré : ils la vivaient cachés.

 Je rie au nez de tous les rangs de la société qui tentent me posséder. Je suis une femme, douce et délicate, mais je suis la proie la plus difficile a abattre, mes chers, car vous voulez me possédez et vous croyez que je vous choisirez quand vous êtes aussi facile a contrôler? À qu'est-ce que vous servez si je suis celle à qui vous prêt à  tout donner. Je suis peut-être qu'une femme, douce et fragile, mais ne croyez pas que j'arrive à mes fins en remettant mon sort à un prince charmant. Qui crève s'enculer, j'en ai beaucoup rêver avant de m'avoir fait violer.

 Comme je les déjà dit, je les toujours eux trop facile.

Stupide la société est.  Vous êtes si faciles à prévoir que le lien avec mon viol et la haine, vous le faite sans même y penser. Stupide vous êtes.

L'enculer qui ma violé a tout simplement fait qu'est-ce que la société lui dit de faire : "Écoute tes désirs". Moi, je fais la même chose. Je ne suis pas une victime, mais une femme libérée. Une femme prédateurs qui n'entend pas son prince charmant, c'est lui qui m'a violée, l'enculer.

L’apprentissage de l’anglais à Danville

Parler de Danville, « my hometown »,  est de parler d’un trait d’histoire du Québec que la mémoire de fierté face à la révolution tranquille cherche à oublier, que nous devons beaucoup aux Anglais : Ma ville, fondée par des Américains venant du Vermont v’là 200 ans, en est la preuve.

Les francophones venus s’installer sur les terres danvilloise et, après la découverte d’amiante, fonder Asbestos furent forcés d’apprendre l’anglais. Asbestos étant aujourd’hui exclusivement  francophone, la différence entre ces deux villes est visible par les multiples maisons victoriennes du «quartier anglais», mais aussi sonore par le bilinguisme de Danville.

Quand j’étais enfant, les gens de ma ville se réunissaient pour passer l’Halloween dans ce quartier aux maisons éloignées des chaussées et reliées par de sombres chemins entre des grands arbres cachant les volumineuses maisons des premiers habitants anglophones. Cet environnement, parsemé d’arbres et de vieilles maisons, donnait un climat « hallowennesse » parfait pour les enfants, et c’est ainsi que mes premiers contacts directs avec les anglophones se sont faits, étant donné que les enfants anglais n’allaient pas à la même école que moi.

Aujourd’hui, par la stupidité des Québécois les anglophones de ma ville et ceux des cantons de l’est en général s’en vont vers l’Ontario où ils ne sont pas traité de sales Anglais et où ils peuvent parler leur langue maternelle comme bon leur semble, et ça au détriment du français qu’ils ont appris, souvent plus que partiellement.

Donc, apprendre l’Anglais est ancré dans la mémoire collective des francophones de Danville, mais apprentissage du Français est ancré dans celle des Anglophones de la même ville.

Malheureusement ce bilinguisme magique disparaît peu à peu des rues de Danville par la monter de la haine envers les anglais. Ce qui a fait que l’apprentissage de Anglais est une chose qui semble ancrée dans la mémoire collective de ma région, mais la haine en réduit l’importance. Pourtant, c’est une partie de notre histoire qui fuit.

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Certaine … trop de personne croit que je suis fou. Ils m’ont enfermer, une fois, dans leur prison qu’il enferme les gens comme moi, les anomalies de leur ordre. Et oui, un schizophrène qui a apprit à vivre avec sa pensée, sa déroge tout l’ordre, mais surtout que servirait ces psychiatres, psychologues et travailleuse sociale, quand les plus foutus mentalement, les schizophrènes, apprendre a écouter leurs voix pour les guider dans vie.

Quel imbécile que vous êtes suivre mes paroles dans la conduite même de l’ordre établit, les hallucinations sont un chemin vers l’inconscience beaucoup plus accessible que les rêves, Fuck You Freud t’aurais du voir que les schizophrènes ont une chance inouïe d’être en contact avec leur inconscience, leur émotion par leur vision, ou délusion.

Moi, je ne sais pas si je suis l’un d’entre eux, mais je sais que la réalité me semble bien éloigner de ma personne et surtout de ma penssé. Certaine fois, je regarde les gens et j’oubli qu’il peuvent me voir les observer. Et ce bruit, en permanence dans ma tête à tous les fois que je sors de chez moi, ces jugements sur mon apparence, ma façon de marché ou de donner le 10$ à la caissière du dépanneur.

Je sais que je ne suis pas le seul dans cette situation, et je sais que dire que j’entends des voix à des gens d’aujourd’hui pousse deux possibilité de réactions, soit qu’il refuse de me croire car leur ego refuse de m’accorder une obstacle de plus qu’eux, soit qu’il me prenne comme un cinglé grave pour avoir de quoi à raconter à leurs amis. Dans les deux cas, vous aurez remarquer, que leur image prend les devant prioritaire de leur action et/ou jugement.

Dans cet état, le sorcier évoque Khichikouai  par le chant, et quand le chant devient plus intense, Khichikouai, par hasard, s’adressent à son auditoire par la voix du sorcier, qui n’utilise seulement un accent algonquien. C’est alors que les sottes sauvages tout ouïe s’écrièrent moa, moa écoute, écoute.  Chacun s’exalta d’entendre et même de voir des animaux sortant de dessous de l’habitacle qui elle ne cessa de s’ébranler de tout bord tout côté. Je ne n’aurais jamais cru qu’un seul homme pouvait avoir tant de force. Cela dit, les sauvages qui m’entouraient me disant que ce n’était pas Mankatou qui en était la cause. Ce charlatan les avait bien dupés. Tous étaient bien heureux. Ils chantaient et dansaient réjouis que la chasse va être bonne cette année, quand tout a été terminé. Et évidement personne ne se posait des questions de la manière que Makatou a pu se libérer de ses lanières(9) sans pouvoir ébranler l’habitacle.   

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  Il n’y a pas de gêne riez de ma paresse, riez de ma senteurs et riez du fait que je m’abaisse pas à votre niveau, dans les rangs sociaux de l’ignorance,  car sachez que votre monde cour à sa fin et que moi je suis bien préparer à celui de demain. Riez car bientôt vous mourrez pour je puise gouverner. Riez !

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Si ma vie à un sens morale quel compte, et bien elle m’a apprit une chose : tout choix est une erreur. Peu importe le choix quelqu’un va en périr et quelqu’un d’autre va s’en réjouir. Le monde occidental du début du millénaire prône, eux, des belles paroles d’harmonies où que tous sont traités comme égaux, citoyens et étrangers, mais dans l’action il ne se laisse que contrôler par le capital sans même hésiter sur le fait qu’il ne peuvent pas y renoncer, eux. Ils se cachent derrière une image de gloire et d’entraide quand ils puissent leur gloire dans les multinationales exploiteurs des mondes extérieurs et kidnappe, depuis quelque temps, l’élite de ces mondes sous un prétendu rêve multiculturel pour seulement maintenir leur gloire à niveau. La pire des terreurs est celle non admise… Non ! La pire des erreurs est celle non aperçue.

La paraisse de l’esprit est la puanteur des dernières heures. Le manque de spiritualité est la cause de la future destruction du monde contemporain, celui même caractériser par sa laïcité seulement prétendue.